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aller au contenu terriat les territoires de l'attente menu et widgets rechercher : catégories activités scientifiques actualités / news bibliographie commentaires/comments lectures / readings non classé recherche/research vidéos archives septembre 2015 (1) mars 2015 (1) septembre 2014 (2) novembre 2013 (2) octobre 2013 (2) septembre 2013 (2) juillet 2013 (3) juin 2013 (1) mai 2013 (2) mars 2013 (1) février 2013 (2) novembre 2012 (1) octobre 2012 (2) septembre 2012 (2) août 2012 (1) juillet 2012 (3) juin 2012 (3) mai 2012 (3) avril 2012 (2) mars 2012 (2) février 2012 (1) janvier 2012 (1) décembre 2011 (2) novembre 2011 (3) octobre 2011 (1) septembre 2011 (3) août 2011 (1) juillet 2011 (4) juin 2011 (5) mai 2011 (3) avril 2011 (7) mars 2011 (3) février 2011 (4) janvier 2011 (2) décembre 2010 (2) juillet 2018 l m m j v s d « sep 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 liens centre de recherches en histoire internationale et atlantique etude de territoire groupe de géographie et d'histoire des territoires, de l'environnement, des ressources et des sociétés revue du mauss étiquettes annonce attente embarcation espaces et territoires europe frontières gibraltar géométrie histoire hôpital iconographie journée d'études migration migrations mobilité mur musée méthodologie nucléaire ouvrage politique migratoire poétique quarantaine revues schengen temporalités temps tsiganes utopies villes voyage économie épidémies épistémologie îles publication du livre « les territoires de l’attente : migrations et mobilités dans les amériques (xixe – xxie siècle) » l’ouvrage de synthèse du programme terriat a été publié fin juin aux presses universitaires de rennes. vous trouverez ci-joint l’introduction générale, l’introduction de la première partie et le plan. territoiresattente une version anglaise sera publiée dans le courant de l’année 2016 (cambridge scholars press) laurent vidal more posts publié le 22/09/2015 22/09/2015 auteur laurent vidal catégories non classé laisser un commentaire sur publication du livre « les territoires de l’attente : migrations et mobilités dans les amériques (xixe – xxie siècle) » colloque territoires de l’attente (en ligne) le colloque « territoires de l’attente » qui s’est tenu en décembre 2014, est maintenant en ligne sur le portail vidéo de l’université de la rochelle à l’adresse suivante : http://portail-video.univ-lr.fr/societes-mobilites-deplacements il est également disponible au téléchargement sur itunesu. laurent vidal more posts publié le 26/03/2015 auteur laurent vidal catégories non classé laisser un commentaire sur colloque territoires de l’attente (en ligne) les phénomènes de mobilité et de déplacement s’affirment comme des caractéristiques majeures de nos sociétés contemporaines. pour autant, loin d’être fluides, homogènes ou linéaires, ces déplacements sont ponctués de temps, plus ou moins longs, d’attente. qu’ils aient pour origine des raisons techniques, administratives ou politiques, de tels moments trouvent bien souvent une traduction spatiale : des territoires accueillent ces sociétés en attente. ce colloque, qui vient clore le projet anr terria t (« sociétés, mobilités, déplacements : les territoires de l’attente », 2011-2014), souhaite examiner ces territoires de l’attente et la multiplicité de formes qu’ils revêtent, en établir leurs dimensions, comprendre leurs statuts juridiques, leurs articulations avec l’espace environnant, leurs temporalités spécifiques, ainsi que la variété des jeux économiques et sociaux qui s’y déploient. pour une telle enquête, les mondes américains, nés du déplacement (volontaire ou forcé) de populations d’origines diverses qui ont marqué de leur empreinte les territoires qu’elles se sont appropriées, s’offrent comme un terrain d’étude particulièrement adapté. longtemps terre de refuge pour les persécutés de toutes confessions, puis eldorado rêvé pour des millions d’immigrants, le continent américain est aujourd’hui encore le théâtre de nombreux déplacements humains : migrants quittant (ou fuyant) les campagnes pour des villes tentaculaires, clandestins franchissant les murs de la peur, réfugiés climatiques s’entassant dans des camps de la sécheresse ou des installations précaires (comme après katrina). ces déplacements, quelque soit leur origine, ont engendré des temps d’attente, donnant également naissance à des lieux spécifiques ou à des territoires inattendus (hôtelleries d’immigrants, pont du navire, ports d’arrivée du nouveau monde, camps de sans terre ou de la sécheresse, favelas…). aujourd’hui, à l’image de nombreuses régions du monde, le continent américain connaît de nouveaux phénomènes de mobilité et de déplacement, qui engendrent d’autres territoires de l’attente, dont il convient aussi de prendre la mesure et de définir les spécificités. près des frontières, où des dispositifs empêchent la traversée des clandestins (murs, barbelés, zones d’attente dans les aéroports), dans les immenses métropoles nées des nouvelles et gigantesques vagues de migrations urbaines, imposant de nouvelles formes spatiales de l’attente, comme les autoroutes urbaines embouteillées, où une véritable économie de l’attente prend forme (des vendeurs à la sauvette proposent boissons et aliments aux conducteurs embouteillés)… les études inspirées des mobilities turn n’ont souvent pas suffisamment pris en compte le fait que l’attente puisse être « un état de la mobilité ». en nous appuyant sur la démarche de l’« exceptionnel normal », expérimentée par la micro-histoire , à savoir que l’exception nous renseigne sur la norme, l’ambition affirmée est que l’analyse de l’attente nous informe sur le mouvement. mais notre propos serait incomplet si en filigrane de cette question d’une attente au sein de la mobilité, ne surgissait pas également une mise en perspective de ce phénomène avec son « territoire ». en effet, le choix de ce terme apparaît pleinement justifié, bien qu’il faille également définir en quoi il y a territoire et qu’est-ce qu’un « territoire de l’attente ». s’il est assez aisé d’identifier des « lieux d’attente », à savoir des dispositifs architecturaux conçus pour la mise en attente temporaire des personnes en déplacement (camps de réfugiés ou de migrants, centres de rétention, lazarets…), la mise en évidence de « territoires de l’attente » est plus complexe, puisqu’il s’agit de lire la façon dont un espace se transforme et se façonne, temporairement, pour accueillir ou réguler une situation d’attente, alors que cette dernière n’avait été que peu ou pas appréhendée par les acteurs eux-mêmes. c’est au regard de cette ubiquité que le terme « territoire » prend tout son sens. l’attente devient ainsi un prisme permettant de questionner et d’éprouver le territoire, et inversement. ce colloque a pour objectif d’enrichir la réflexion en sciences humaines et sociales par le biais de différentes réflexions thématiques concernant les territoires de l’attente : les interactions et jeux sociaux, la mise à l’épreuve des pratiques sociales et culturelles ou encore les configurations identitaires et patrimoniales produites et/ou altérées par ces territoires de l’attente. enfin, ce colloque international se veut aussi l’occasion d’élargir les réflexions menées par les chercheurs du projet, en accueillant des enseignants-chercheurs, docteurs et doctorants intéressés par ces problématiques et aptes à apporter des éclairages et des réflexions nouvelles. colloque international sociétés, mobilités, déplacements : les territoires de l’attente d’hier à aujourd’hui (le cas des mondes américains, xix e – xx e siècle) université de la rochelle, 9-11 décembre 2014 programme mardi 9 décembre 10h30 : accueil des participants 11h00 : allocutions de bienvenue : m. le président de l’université de la rochelle, m. le doyen de la flash, m. le directeur du crhia 11h15 : introduction (organisateurs) 11h30 : la frontière, comme territoire de l’attente (président : grégory bériet ; discuta